Mon Dieu quand serons-nous donc assez riches pour ne pas nous faire une inquiétude de toutes ces dépenses journalières et indispensables. Je le désire surtout pour toi, mon pauvre galérien, car je comprends que tu sois à bout de ton courage et de tes forces. . . . Je n’ai même pas les palettes de ressource. Il n’y a pas de charlatan, quelque dentiste qu’il soit, qui voulût de mes chicots pour rien. Et quant à mes cheveux il n’y en aurait pas assez pour faire la queue à un pierrot de mon jardin.
[Letter written in Paris, 29 décembre [1847], transcribed by Nicole Savy; available at Juliette Drouet: Lettres à Victor Hugo.]